Bonjour, je suis Maxime Gilbert, 27 ans et bachelier de design graphique de l'Université Laval. Mon engagement académique, parascolaire et professionnel montre ma passion envers et dans le domaine de la communication graphique.
En tant que graphiste, j’ai eu, entres autres, l’opportunité de mettre à profit mes compétences dans la production et la planification de la 1ère édition du festival Québec en Glace organisé par Aventurex. J'ai été aussi à la production promotionnelle du festival de la montagne de Charlevoix et auprès de la fondation de la montagne de l’espoir (expé-mission trek et aide en Haïti). Concrètement, j’ai assisté les responsables au communication dans la conception d’avis, de lettre de commandite, d’invitation ainsi que tous support de promotions liés aux événements. (affiche, dépliants, etc.).
Par ailleurs, en tant que chargé de projets publicitaire sur différentes publications dans les magazines, les journaux ou encore à la radio, j'ai dû développer différentes aptitudes tels que la gestion, la minutie, l'organisation, l'analyse, etc.
Le secteur d’activité m’intéresse à un point tel que j’ai investit plusieurs heures bénévoles pour le journal impact campus en tant que photographe. Je participe fréquemment à plusieurs concours dont certains m’ont déjà honoré par le premier prix. J’assiste aussi fréquemment à diverses formations ou conférences pouvant me permettre d’approfondir mes connaissances.
Notez que ma candidature se différencie des autres par mes intérêts remarqués pour les échanges interculturels. Mes voyages et mes rencontres précédentes n’ont fait qu’augmenter ma soif pour le partage qu’il soit de nature artistique ou autre.
Compétences
Illustrator, Photoshop, Indesign, Dreamweaver, After effect, Première, etc. de la série Adobe CS5 nécessaire à la création de support promotionnel, de création de marque, de conception de site Internet ou autres.
Je ne citerai qu'une seule phrase: « Mais au lieu de la simplicité, c'est le faste que je mettais au plus haut rang, si, après que j'avais forcé Françoise, qui n'en pouvait plus et disait que les jambes " lui rentraient ", à faire les cent pas pendant une heure, je voyais enfin, débouchant de l'allée qui vient de la Porte Dauphine - image pour moi d'un prestige royal, d'une arrivée souveraine telle qu'aucune reine véritable n'a pu m'en donner l'impression dans la suite, parce que j'avais de leur pouvoir une notion moins vague et plus expérimentale, - emportée par le vol de deux chevaux ardents, minces et contournés comme on en voit dans les dessins de Constantin Guys, portant établi sur son siège un énorme cocher fourré comme un cosaque, à côté d'un petit groom rappelant le « tigre « de » feu Baudenord », je voyais - ou plutôt je sentais imprimer sa forme dans mon coeur par une nette et épuisante blessure - une incomparable victoria, à dessein un peu haute et laissant passer à travers son luxe " dernier cri « des allusions aux formes anciennes, au fond de laquelle reposait avec abandon Mme Swann, ses cheveux maintenant blonds avec une seule mèche grise ceints d'un mince bandeau de fleurs, le plus souvent des violettes, d'où descendaient de longs voiles, à la main une ombrelle mauve, aux lèvres un sourire ambigu où je ne voyais que la bienveillance d'une Majesté et où il y avait surtout la provocation de la cocotte, et qu'elle inclinait avec douceur sur les personnes qui la saluaient. »
RépondreSupprimer